Gérard et Michel Marasse étaient sur les lieux pour accueillir ce groupe de 30 personnes enrichi d’un couple d’Acadiens, des Leblanc, originaire du Nouveau-Brunswick mais vivant maintenant en banlieue de Montréal.
La visite a commencé par la photo de groupe. Il a en effet été constaté qu’il était beaucoup plus facile de regrouper tout le monde en début plutôt qu’en fin de visite.
Le groupe étant important Gérard a décidé de le scinder en deux après la présentation liminaire qui précède toujours, quand on le peut, la visite proprement dite.
Après avoir installé une partie du groupe en salle d’accueil pour voir le film, la seconde partie a visité la pièce à vivre où Gérard a fait une présentation de l’habitation et de la vie en ces lieux il y a bien longtemps.
A l’issue de ces deux présentations conjointes il y a eu permutation des deux demi-groupes, permettant ainsi à chaque partie d’avoir la totalité de la présentation avant la visite collective autour de la ferme. Ce tour du bâtiment en extérieur permet de bien voir et comprendre les principes de la construction en bousillis.
Le groupe arrivé avec un peu de retard et ayant prévu le déjeuner à 13 h 00 au bar des sports à Archigny, la fin de la visite a coïncidé avec l’impératif de départ.
Groupe sympathique et curieux très content de son passage à notre musée.
Les deux Acadiens avaient prévu de visiter Châtellerault l’après-midi. Gérard s’est donc proposé de leur servir de guide, avec, comme point de départ après le déjeuner, l’église Saint-Jean l’Évangéliste de Châteauneuf.
Ce sont ensuite succédés les points de repère de l’Acadie en pays châtelleraudais, la place de Grand- Pré, la rue des Acadiens, la rue du Nouveau-Brunswick, le pont Henri-IV, le quai des Acadiens et ce qu’il reste du petit monument dévasté par des gens peu scrupuleux, ainsi qu’une halte à la stèle qui évoque le départ des Acadiens.
À l’issue de cette courte visite, ces charmants voyageurs, enchantés des découvertes de ce samedi, sont repartis pour Mignaloux-Beauvoir, lieu de leur résidence. Le lendemain ils devaient visiter Poitiers.
Gérard Ardon-Boudreau
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